Rencontrez Alison, Recruiter

Ce qui a fait la différence, c’est le contact humain que j’ai eu avec les personnes que j’ai rencontrées chez IMPACT.

L’honnêteté, le respect et la communication, voilà ce qui a le plus d’importance pour Alison, recruiter chez IMPACT depuis plus de 4 ans. Grâce à son empathie et son grand intérêt pour les autres, Alison effectue son travail avec passion et est toujours à l’écoute des besoins de ses candidats et intérimaires.

Alison a un parcours un peu particulier : en effet, elle a fait des études en sciences humaines pour se diriger ensuite vers la puériculture, ayant un grand besoin de bouger, d’être très active et de venir en aide aux autres.

Lorsque l’on demande à Alison si elle s’imaginait travailler un jour dans le secteur des ressources humaines ou de l’intérim, sa réponse est sans appel : « Honnêtement, je ne me suis jamais posé la question, parce que j’étais persuadée que je ne travaillerais jamais derrière un bureau, derrière un écran, assise sur une chaise pendant 8h d’affilée, 40h par semaine. Je ne voulais pas. C’est pour ça que j’ai fait de la puériculture, parce qu’on bouge tout le temps. Ce qui a fait la différence, c’est le contact humain que j’ai eu avec les personnes que j’ai rencontrées chez Impact ».

Un travail passionnant

Quand Alison a commencé à travailler chez Impact, elle s’est vite rendu compte que c’était un travail très prenant, qui la forçait à réfléchir et à toujours pousser plus loin ses recherches, à toujours remettre en question ses certitudes. De plus, il lui permettait d’aider des gens en permanence, des personnes qu’elle ne connaissait ni d’Ève ni d’Adam mais qui avaient besoin d’elle et de ses compétences. Elle nous confie d’ailleurs que : « Que ce soit aider des enfants à se développer ou aider des adultes à se sentir bien dans un métier qui leur plait, pour moi le principe est le même. C’est ce qui pour moi a été le plus important et a été le point d’honneur quand j’ai commencé à travailler chez Impact. ».

Une chance de se démarquer

Alison n’a pas commencé sa carrière chez Impact de manière traditionnelle, elle a été présentée à l’entreprise par son collègue, qui a tout de suite décelé en elle quelque chose qui pourrait faire l’affaire dans l’entreprise. Elle a alors rencontré sa responsable actuelle ainsi qu’une des membres de l’équipe RH et a vite intégré l’équipe d’Auderghem comme recruiter. La particularité de ses débuts se trouvent dans le fait que sa responsable a eu la possibilité d’ouvrir une deuxième agence : en plus d’Auderghem, elle a pu ouvrir une agence à Nivelles.

Alison explique « Je n’ai pas eu cette chance d’être là dès le départ, par manque de connaissances, j’avais encore des choses à apprendre sur Auderghem. Mais la chance qu’on m’a donnée à cette époque-là, c’est de pouvoir suivre l’administratif de deux agences confondues. C’est assez atypique – tout consultant n’a pas cette possibilité – car, n’arrivant pas à m’affirmer par le recrutement et la présentation auprès des clients, on m’a permis de gérer deux agences au niveau administratif (faire les contrats, l’envoi des prestations, avoir le contact avec les clients pour demander les prestations). Le contact s’est alors fait plus facilement, et ça m’a aidée à m’affirmer et à prendre confiance pour pouvoir par la suite prendre contact avec les clients ».

Un merveilleux souvenir

Lorsque l’on demande à Alison de nous parler de son meilleur souvenir chez Impact, elle visualise tout de suite la scène et connait sa réponse avant même que notre question ne soit terminée. « Je l’ai déjà en tête, je le vois. Je veux toujours évoluer et me dépasser et, la première année, après un an chez Impact, on a eu notre réunion annuelle, où on reçoit toujours la félicitation des recruiters qui atteignent le million [de chiffre d’affaire à l’année, NDLR], je savais très bien qu’en un an c’était impossible pour moi d’arriver à ce stade-là, mais j’ai dit à mes collègues ‘L’année prochaine, moi je veux être là, je veux être sur ce podium’.  Ma deuxième année a été très tumultueuse, avec le changement à Nivelles, gérer des stagiaires, les étudiants, j’ai eu énormément de responsabilités et, pour moi, ce n’était plus faisable.

Et puis, à la fin de ma deuxième année, on a eu cette réunion annuelle, où j’ai été la première personne à être appelée. J’ai eu cette chance d’arriver sur scène, et on m’a donné deux bouteilles. J’avais la récompense de mon collègue absent en main mais, surtout, j’avais la mienne. C’est une réussite personnelle de me dire ‘je voulais le faire, je me suis donné les moyens de le faire et je l’ai fait’. »

Une entreprise pas comme les autres

Nous avons également demandé à Alison ce qui, selon elle, faisait d’Impact une bonne entreprise, ce pourquoi elle aime tant y travailler. « Ce qui fait la différence chez Impact, c‘est que les personnes avec lesquelles on travaille sont toutes des personnalités atypiques et c’est ce qui fait notre force. On arrive à trouver des terrains d’entente, chacun accepte l’autre et c’est ça pour moi qui fait la différence chez Impact. Honnêtement, je ne me verrais pas travailler pour une autre société d’intérim, parce qu’Impact est plus dans la qualité que dans la quantité. On n’a peut-être pas des centaines de personnes sur nos plannings, mais les intérimaires que l’on a, on les connait, on sait chez qui ils travaillent et comment ils travaillent, on sait qu’on peut les appeler, leur poser des questions, et apprendre des choses grâce à eux aussi, et c’est ça qui pour moi fait notre force. »

Enfin, nous avons aussi posé à Alison LA question : comment fait-elle pour avoir un IMPACT ?

Elle nous répond d’abord, en riant, que c’est par sa gentillesse qu’elle réussit. Elle enchaine ensuite : « Je suis quelqu’un d’honnête. Pour moi, l’honnêteté prime pour tout, ma plus-value, c’est ça. C’est tous ces petits mots, le respect, l’honnêteté, la communication, l’oser dire les choses, quand ça ne va pas, ça ne va pas, il faut le dire. C’est déjà arrivé : il y a des moments où, au boulot, on a beaucoup de choses à gérer, il faut pouvoir redescendre, j’ai alors besoin d’une coupure, qui se fait à 17h jusqu’au lendemain à 8h30. Ça n’est pas toujours facile mais, pour moi, ma plus-value, oui, c’est mon honnêteté et le fait que je n’ai pas de filtre. »