Rencontrez Karolien, Conseillère en prévention chez Firma Beel

La firme Beel est spécialisée dans les machines agricoles et horticoles, les récolteuses et les engins de terrassement.

René Beel, grand-père de l’actuel gérant, a ouvert sa forge et sa quincaillerie en 1932. Près d’un siècle plus tard, sous la direction de Karel, le petit-fils de René, la firme Beel est devenue une entreprise prospère spécialisée dans les machines agricoles et horticoles, les récolteuses et les engins de terrassement. Karolien De Smet, conseillère en prévention, et Tine Verholleman, HR Officer, expliquent comment la firme Beel et IMPACT parviennent, depuis plusieurs années déjà, à trouver des experts opérationnels immédiatement.

Entreprise familiale transmise de père en fils, la firme Beel a été fondée il y a près d’un siècle. Avec six filiales et d’ambitieux projets de croissance, les affaires roulent pour la société. Cependant, pour continuer à garantir des machines agricoles et horticoles, des récolteuses et des engins de terrassement de la plus haute qualité, l’entreprise a besoin de main-d’œuvre opérationnelle immédiatement, depuis les soudeurs jusqu’aux techniciens. Une tâche fastidieuse, car ces experts ne courent pas les rues...

Connaissances spécifiques

En effet, quiconque souhaite travailler pour la firme Beel doit disposer de connaissances spécifiques. Depuis de nombreuses années déjà, Karolien et Tine constatent à quel point il est difficile de trouver des profils adéquats. « Pour nous, le poste de soudeur figure parmi les plus difficiles à pourvoir. Même si vous êtes capable de souder, vous n’avez pas forcément le profil adéquat pour notre domaine spécifique. En effet, vous devez être capable de réaliser constructions et effectuer des modifications à la demande du client. Vous ne disposez d’aucun plan, ce qui nécessite beaucoup de créativité. »

Les profils les plus recherchés restent néanmoins les techniciens agricoles. « Ici aussi, le constat est identique : tous les bons techniciens ne s’y connaissent pas forcément en tracteurs ou en grues. Chaque travailleur possède des compétences et une spécialité qui lui sont propres. Les techniciens de la firme Beel doivent disposer de connaissances concrètes et approfondies et maîtriser à la fois les aspects électroniques et mécaniques des machines agricoles. Résultat : nous devons beaucoup chercher pour trouver ce genre de profil, car dans ce domaine, l’offre sur le marché est plutôt rare. »

Longue formation ou mobilisation immédiate

Ainsi, la firme Beel met tout en œuvre pour attirer les spécialistes de demain. « Nous travaillons en étroite collaboration avec plusieurs hautes écoles et leur envoyons nos offres d’emploi dès que les étudiants ont terminé leur formation, mais nous ne sommes pas la seule entreprise à vouloir attirer les professionnels de demain depuis les bancs de l’école. La pénurie sur le marché des candidats est telle que ceux-ci sont rapidement bombardés de propositions d’emploi. Et puis, il faut un minimum d’ancienneté et d’expérience pour pouvoir travailler efficacement. »

Un deuxième facteur intervient également : la vitesse à laquelle les nouveaux collaborateurs doivent être opérationnels. « Le hic par rapport aux étudiants, c’est la rapidité avec laquelle nos spécialistes doivent être opérationnels. Nous essayons d’encadrer chaque travailleur de façon optimale, mais cela nous prend cinq ans pour former quelqu’un correctement et le rendre totalement opérationnel. Bien entendu, les travailleurs apprennent petit à petit et reçoivent ainsi toujours plus de liberté. Mais malheureusement, les choses ne sont pas aussi simples pour les travailleurs spécialisés dans les récolteuses, comme les hacheuses, par exemple. »

Spécialistes étrangers

Pour obtenir de l’aide dans sa recherche de profils expérimentés, la firme Beel a fait appel à IMPACT. Les deux entreprises collaborent avec succès depuis 2018. « Le marché local des candidats est devenu trop petit pour trouver les profils adéquats. Avec IMPACT, nous avons donc décidé d’étendre nos recherches au-delà des frontières belges, et ce choix s’est avéré judicieux, puisqu’aujourd’hui, nous employons trois collaborateurs étrangers qui ont commencé à travailler pour nous comme intérimaires via IMPACT. Dans l’intervalle, ces travailleurs très engagés ont suivi un parcours d’intégration pour apprendre le néerlandais. Bien entendu, la collaboration se poursuit : dès que nous avons besoin de spécialistes, IMPACT nous aide à trouver des intérimaires. »

La firme Beel n’a vu aucun inconvénient à opter pour des collaborateurs étrangers. « La nationalité d’une personne ne détermine pas les qualités qu’elle possède. Outre l’expertise technique, nous demandons une bonne connaissance du français ou de l’anglais et la volonté de s’adapter à un nouvel environnement. Nos exigences s’arrêtent là. En échange, nous proposons un cadre de travail familial et très flexible : nous comprenons parfaitement que ces travailleurs aient besoin de retourner de temps à autre dans leur pays d’origine — tantôt en vacances, tantôt pour une urgence. Nous adaptons notre calendrier de travail à leurs besoins. »

Le bonheur au travail comme dans la vie privée

En tant que conseillère en prévention et personne de confiance, Karolien sait parfaitement à quel point il est important pour les travailleurs d’être heureux au travail comme dans la vie privée. « Nous mettons tout en œuvre pour prendre soin de nos collègues au sein de la firme Beel : ils savent que nous sommes là pour eux en cas de problème. Dans ce cadre, IMPACT occupe un rôle très complémentaire, puisque l’entreprise gère de très nombreux aspects et soulage ainsi les clients comme les travailleurs intérimaires. Par ailleurs, l’équipe se montre très disponible en cas de problème de langue ou d’incertitude à clarifier. »

En sa qualité de conseillère en prévention, Karolien apprécie tout particulièrement le fait qu’IMPACT accompagne de A à Z les travailleurs intérimaires qui arrivent en Belgique. « Une entreprise se doit d’adopter une approche humaine, a fortiori une agence d’intérim. Or, cet aspect humain est ancré dans la culture d’entreprise d’IMPACT. L’agence s’occupe de trouver un logement pour chaque candidat et répond également aux nombreuses questions qu’ils nous posent, depuis les certificats médicaux à l’achat d’un véhicule, en passant par la demande d’une nouvelle plaque d’immatriculation ou la déclaration d’impôt. Il nous suffit de poser la question ou d’envoyer notre demande, IMPACT s’occupe de tout. »

Une communication transparente et de beaux projets d’avenir

La culture d’entreprise de la firme Beel et celle d’IMPACT sont très similaires. Dès lors, rien d’étonnant à ce que la collaboration se déroule aussi bien. « IMPACT, ce n’est pas seulement une entreprise, c’est une famille qui s’occupe de vous et qui peut vous proposer la solution adaptée à vos besoins. Nous avons noué une très bonne collaboration reposant sur une communication transparente. Et si, par hasard, les nouvelles sont moins bonnes, nous nous montrons totalement honnêtes des deux côtés : personne n’entrave cette communication, ce qui apporte de la clarté et inspire confiance. »

Cela s’avère d’ailleurs nécessaire, car les deux entreprises doivent agir très rapidement. « Nous recherchons en permanence des spécialistes qui sont opérationnels immédiatement. C’est d’ailleurs la demande que nous avons soumise à IMPACT, nous n’allons pas le cacher. Jusqu’à présent, l’agence a toujours rempli sa mission avec brio. Aujourd’hui, l’équipe sait parfaitement quels profils nous recherchons exactement. La firme Beel a de grands projets d’avenir, IMPACT devrait donc faire un bon bout de chemin à nos côtés. »